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miércoles, 25 de marzo de 2009

Obama en la WEB

Publié le 27/03/2009
Le Point.fr -
http://www.lepoint.fr/
La cyber-démocratie participative d'Obama

Barack Obama n'a décidément pas usurpé son étiquette de " président high-tech ". Le locataire de la Maison-Blanche a inauguré, jeudi, un nouvel exercice de "démocratie de masse" en répondant en public aux questions posées par des dizaines de milliers d'Américains via internet.
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Accessible en direct depuis le site de la Maison-Blanche , le "chat" présidentiel a permis au président de répondre à une dizaine des 104.129 questions soumises par 92.925 personnes. Washington avait donné environ 36 heures aux Américains pour soumettre leurs questions, et pour voter pour celles qui leur paraissaient les plus importantes.

1 comentario:

  1. miércoles 25 de marzo de 2009
    Obama en la WEB
    Publié le 27/03/2009
    Le Point.fr - http://www.lepoint.fr/
    La cyber-démocratie participative d'Obama

    Barack Obama n'a décidément pas usurpé son étiquette de " président high-tech ". Le locataire de la Maison-Blanche a inauguré, jeudi, un nouvel exercice de "démocratie de masse" en répondant en public aux questions posées par des dizaines de milliers d'Américains via internet. Accessible en direct depuis le site de la Maison-Blanche , le "chat" présidentiel a permis au président de répondre à une dizaine des 104.129 questions soumises par 92.925 personnes. Washington avait donné environ 36 heures aux Américains pour soumettre leurs questions, et pour voter pour celles qui leur paraissaient les plus importantes. Plus de trois millions et demi d'Américains ont voté. Barack Obama n'avait émis qu'un souhait : que les questions portent sur l'économie. Un appel pas forcément respecté... "L'expérience" devrait être renouvelée Parmi les questions les plus fréquentes, une concernait... la légalisation de la marijuana. À ce sujet, le porte-parole du président, Robert Gibbs, a clairement sous-entendu qu'un certain groupe favorable à une telle légalisation avait peut-être mobilisé ses membres pour exploiter ce forum unique. Mais Barack Obama ne s'est pas dérobé : "Je ne sais pas quelle conclusion il faut en tirer sur le public en ligne", a-t-il plaisanté, "mais cette question a remporté un grand succès. Nous voulons veiller à ce qu'on y réponde. La réponse est : non, je ne crois pas que cela soit une bonne stratégie de croissance économique", suscitant les rires du public. Plus sérieusement, s'il s'agissait, comme Barack Obama l'avait signifié par avance, de disposer d'un "instantané de ce qui compte pour les Américains à travers le pays", il aura eu la confirmation que ceux-ci s'inquiètent de la délocalisation de leurs emplois, du paiement de leur loyer, du financement de leurs études, autant de sujets de préoccupation pour lui-même. Il a répondu avec pédagogie et gravité, prévenant les Américains qu'ils n'avaient pas encore touché le fond du chômage. Il leur a annoncé d'imminentes dispositions en faveur de l'industrie automobile menacée de faillite. Il a défendu son action, à un moment délicat de sa jeune présidence. Pour parler de couverture santé, il a invoqué le combat de sa mère atteinte (et morte) d'un cancer des ovaires pour obtenir la prise en charge de ses frais médicaux. Regardez la vidéo du "chat présidentiel",
    D'après Robert Gibbs, cette première réunion publique en ligne était une "expérience", qui devrait être renouvelée. En réalité, si l'utilisation d'Internet pour l'exercice est effectivement nouvelle, le principe de rassurer les Américains par des "causeries au coin du feu" avait été inventé par le président Franklin Roosevelt (élu de 1933 à 1945, en plein pendant la Grande Dépression). Mais à l'époque, ces émissions étaient retransmises... à la radio. En reprenant et en modernisant le concept, Barack Obama entend ainsi tenir la promesse d'ouvrir davantage la Maison-Blanche aux Américains, et de s'en remettre pour cela à ces nouvelles technologies qui l'ont tant aidé pendant sa campagne. Et qui ont déjà donné un coup de jeune à la communication politique depuis son élection. En effet, dès le 5 novembre dernier, Barack Obama lançait change.gov , un site internet dédié à l'actualité du président élu. Vitrine virtuelle d'un bureau ovale fantôme, ce blog a inlassablement relayé les moindres faits et gestes de Barack Obama jusqu'à son investiture. Mêlant vidéos exclusives, photos inédites, et forums participatifs, ce support s'est tout de suite imposé comme la clef de voûte de la communication du président élu, confirmant ainsi la domination sans appel que le sénateur de l'Illinois a exercée sur la toile face à son adversaire pendant toute sa campagne. Un nouveau pas était franchi une semaine après, lors du traditionnel discours radiodiffusé du président américain. Là aussi, Barack Obama a décidé de bousculer les traditions en diffusant une vidéo de cette intervention, et de toutes celles qui ont suivi, sur le site de partage You Tube ( regardez la première de ces interventions, sous-titrée en français ). Et, à quelques jours de son investiture, le 20 janvier, le président a lui-même fait la promotion des festivités prévues à Washington , appelant ses compatriotes à s'informer... par SMS, "pour connaître les dernières évolutions du réseau de transport, et savoir comment participer"...

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